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Archives Mensuelles: mai 2008

Shinsengumi – The Last Days of the Shogunate (Japon, 1960)

25 dimanche Mai 2008

Posted by senbei in Opium For The Masses

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chambara, Cinéma japonais, classique, rimmel, Shinsengumi, shogun

shinsengumiCover_rs

Shoretsu shinsengumi – bakumatsu no doran

Pas exactement le film le plus speed que j’ai vu cette année, mais pas atrocement rythmé quand même, soyons positif.

Juste un chambara bien classique, presque intégralement (très bien) filmé en intérieurs, très bien exploités, soit dit en passant: le choix des décors est très sympa, et vraiment bien fidèle historiquement. D’ailleurs, ondirait presque plus un documentaire qu’autre chose.

Shinsengumi_1

« Quel est le malandrin qui a encore osé pêter ? »

Le plot est ardu a résumer (voir plus bas) , et on s’en fout un peu : on veut voir des combats au sabre, des coups de tatanes en paille dans des portes en balsa et des tronches pas possibles.

Shinsengumi_2

« Tu est bien audacieux, jeune homme…

Pique encore une fois mon Rimmel© et tu subiras les tourments de sodome.

Moi et mes fidèles compagnons revenons de mer, et… »

Le combat final élargit un étage de baraque à la taille d’une grange de manière superbe, jetant un corps pas ci, balançant un pied ici, un sabre coupant en deux la dernière…beau jeu avec la camera, l’éclairage. Le réalisateur

Pas désagréable du tout , sauf pour ceux qui n’aiment pas les décès par mort violente : 95% des protagonistes y passent, mais le titre ne prend personne en traître.

3/5, ça fait du bien de voir des bonnes grosses têtes épaisses et bien masculines dans ces jours de palichons efféminés.

Welcome to the Quiet Room (Japon, 2007)

25 dimanche Mai 2008

Posted by senbei in Opium For The Masses

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Cinéma japonais, HP, infirmière, Machida

Quiet Room ni Yôkoso

Quiet Room ni Yôkoso [2007]

J’ai eu du bol de voir cette année un certain nombre de films japonais excellents, dont celui-là.

Deja, ça fait plaisir d’avoir de jolies actrices ET un vrai scénario qui tient la route. Ensuite, le plaisir est doublé pour pas cher : elles ne sont pas traitées comme des poupées : ça vomit, fume, se pisse dessus, pète un câble, picole, fait des OD de somnifères…

Comme Asuka, qui se réveille dans cette pièce calme, sanglée sur le lit qu’elle devra garder, subissant/décimant les médecins plus ou moins compétents et surtout l’infirmière froidement sadique et bien érotique (mais c’est juste mon avis…excellente actrice).

Huis clos hospitalier ou presque, le film se paye pourtant un microcosme de tronches pas possibles, psychopathes et autres mythos de légende, auquel le pétomane ex-copain et ses dents en vrac et sa schizophrénie à recouvrir de papier dans Noroi ne dépeindrait en rien.

Racaille incendiaires, anorexiques paranos, mamies reines de l’évasion, on pourrait croire à un film bien gras et lourd, genre « La 7ème compagnie en HP à Machida » avec Henry Guybet et Maurice Risch (do never forget this) en featurette « fin de mois difficile ».

Ben non, c’est fin, drôle, idiot, attendrissant et bien monté, un peu comme moi au fond. Bien rythmé aussi, discrètement musiqué, proprement filmé, pas grand chose à redire, en fait.

Ah! si : de la nudité en plus et 15 minutes de moins, ça l’aurait fait.

4,8/5 et un nombre conséquent de caméos.

PS: pour ceux qui se demanderaient ce que je fous, bordel de merde : je suis en train de finir mon déménagement, alors le net est encore volé aux voisins (=pas ma priorité, donc).

Summer Time Machine Blues (Japon, 2005)

06 mardi Mai 2008

Posted by senbei in Opium For The Masses

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été, comédie, humour japonais, Machine à voyager dans le temps, vidal sassoon

Summertime_rs

Pas une bouse mais pas le cœur du poulet non plus, un film léger et regardable si on est bon public sur la comédie pour teen-agers japonais, style légèrement atroce sur les bords quand on y réfléchit.

En fait, l’humour japonais tout court, c’est souvent atroce. J’aurais envie de dire « pour un Occidental« , histoire de rationaliser et de passer moins pour un nazi, mais en fait non.

Si vous n’en êtes pas convaincu tout seul, vous êtes un con de hippy fan de naruto japanophile beat bouffeur de cup-ramen et vous serez tondu à la libération, à moins que vous ne lisiez ça + l’intégrale de Kenzaburo Oe pour demain midi, pétantes.

Après quoi, revoyez STMB comme une histoire qui détend le cerveau, riez aussi bêtement que moi devant les quelques bons gags du film (c’est rare et mérite d’être signalé), et amusez-vous a faire des « EeeeEeeh ? » de surprise feinte devant le montage astucieux du film.

Musique honnête, acteurs pas trop insupportables (à part « Mr.Vidal Sassoon« , que je peux pas blairer)…C’est léger comme le scénario (qui tient sur un demi-cheveu de Jeanne Mas), ça se laisse voir.

Vague histoire :
Le club de science-fiction du lycée est en émoi parce que la télécommande de la clim tombe en panne. Survient une machine à remonter dans le temps, solutions idéales, mais…

2,5/5

Vivre dans la peur.

05 lundi Mai 2008

Posted by senbei in Kultur Schokk !, La Bright Life in Tōkyō, Uncategorized

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écoles de langues, consulting, diffamation, expatriés, exploitation, Tokyo

Sebastein Tellier II rs

Malgré une photo très « Action Directe » et un titre à mi-chemin entre le film de Kurosawa et un bouquin new-age à la con, c’est un essai bien académique en 3 parties, mais sans annonce du plan (-2 )


Il y a beaucoup de choses bizarres dans le fait de bloguer
et de lire les autres blogs. Des interrogations sur le pourquoi mais aussi le comment: Pourquoi écrire, pour qui, de quoi ?

1 – Depuis que je suis ici –soit environ 1 an et un mois-, j’ai eu l’occasion de passer quelques entretiens d’embauche, pour…manger survivre, rassurer ma copine et faire comme les autres. Pas beaucoup, en tout cas, d’où un certain nombre de soucis.

取り乱す

とりみだす ・ torimidasu ・s’affoler , paniquer

Il y a quelques mois, je paniquais : pas possible d’obtenir le visa escompté (par mon resto, le dossier ne passant pas faute d’expérience), donc peu de solutions pour rester au Japon :
– Devenir clandestin (a.k.a. bosser beaucoup pour un siège éjectable et aucun avenir…ou comme le disait Akhenathon avant qu’il ne décide de transformer sa bouche en usine à vacuités rentre-pognon :

« J’évoque une existence pathétique
Dix balles en poches par mois, dis-moi, c’est ridicule
Tout comme tafer comme un clebs pour un bosse qui t’encule »

– Devenir étudiant (a.k.a bosser que dalle et augmenter mon japonais… en dormant sous les ponts.
– Devenir marié (a.k.a. bosser comme un con pour payer un Vui-thon à ta femme qui te tient par les couilles…)
– Devenir autre chose : trouver dare-dare un travail visatifiant (la classe, ce néologisme!)

Ciel gris

Chiaki refusant de se marier (c’est rare : c’est censé être le rêve de toute femme de ce pays), l’argent faisant défaut pour le reste, j’ai passé quelques nuits blanches, eu quelques sueurs froides et harcelé le Tout-Tokyo des écoles de langues et importateurs de vin, deux créneaux qui me semblaient susceptibles de marcher.

 » – Et les boîtes de consulting ? »
[me demande Philippe que je remercie en passant.]
– J’ai essayé East West jadis, c’était…bizarre…
– Ah mais c’est les pires, c’est bien connu !
– Comment ça, « connu » ? »

Après quoi, j’ai rencontré James, qui travaille dans le domaine et qui me l’a dit encore. Ah, c’est connu ? Mais de qui ?


Entre temps, j’ai touché la terre promise, Dieu me tripota dans mon sommeil (comme le révérend père du collège Jésuite le fit pour mon père, maudite Belgique ! ) et Manu m’appela, après quoi ce fut Michel, et j’ai donc le visa ET le travail pour l’instant…je croise jusqu’aux doigts de pieds en mageant du pain azyme tous les jours pour les garder (les job et visa, mais aussi les orteils) et croise même les cheveux pour l’appart que je cherche encore.
Je dors à nouveau après mes journées de servile esclave de l’économie locale et si jamais je ne dormais pas, c’est à cause de cette fichue saison 4 de ReGenesis et pas parce que je me tape du mailing de CV trilingue toute la nuit.

御目出度

おめでとう ・ omedetou ・félicitation , bravo

Oui, omedeto. Merci !
Mais la question qui me retravaille, du coup, c’est l’autocensure.

vivredanslapeur2 – Les blogs des francophones parlent peu de leur travail, ce qui concentre pourtant une majeure partie de commentaires naïfs des aspirants à l’exil nippon dont je fus aussi. Manque d’intérêt de l’auteur pour le sujet ? Envie de ne pas dévoiler sa vie privée et de se concentrer sur l’essentiel (comme le vélo et les parapluies, 2 dangers publics locaux nécessitant sûrement des articles de 800 mots) ?
C’est pas la chine : en chine, t’es tranquille parce que victime. Ici, tu choisis de t’autocensurer.

Histoire de taper sur un truc facile, un exemple : après l’entretien d’East West, j’avais envie de poster sur cette expérience. Je ne savais pas quoi en penser, mais pas grand-chose en fait…sauf un certain sentiment de pantalonnade. Je ne poste alors pas parce que…j’ai peur.
Peur de quoi ? De ne pas avoir le travail, d’être cataloguer « connard que vous devez éviter d’embaucher » : alors que personne ne lit ce blog, on imagine toujours un mec de l’entreprise en train de googlizer votre nom. Et d’ailleurs, j’ai souvent mon nom dans les sujets de recherches des statistiques du blog. Qui donc, alors ?

Au début, je réfléchis pas, j’attends la réponse. Je relance. Rien.
L’envie d’écrire s’estompe, on passe à autre chose.
Maintenant, je repense à l’entretien, chépluqui me dit qu’ils ont un gros turnover…Avec le recul, je pense que si on pouvait lire quelque chose là-dessus quelque part avant d’aller voir des gens faire du speed dating d’entreprise et vous réciter le contenu du site web en 12 minutes, ça serait déjà pas mal…

Savoir qu’un Français va vous faire un exposé en anglais pour vous évaluer sans vous en laisser placer une est intéressant aussi.

Ah mais j’ai compris : c’est ça la compétition : impose ta parole, crève lui les yeux, grimpe au sommet brandissant son oesophage arraché d’une main vers le ciel rempli de néons de cabinet de consulting et de lumières tamisées d’izakaya pré-gerbi de station de métro (attention aux Weston, n’est pas Roland Dumas qui veut).
Mais c’est pas très passionnant ni spécial, au fond.
Children of israelCe qui m’inquiète plus, c’est que je n’ose toujours pas parler des autres recrutements : Dans un élan de paranoïa de type sémito-schizostalinien, j’ai les angoisses virulentes, je m’imagine déjà mouton noir, qui balance et ne trouvera donc plus de travail « sérieux », ferra donc des baitos jusqu’à épuisement, après quoi sa copine le larguera par qu’il ne pourra jamais payer le Gucci quand même et qu’en plus ils ne se verront plus, elle qui justement se fait tourner autour par le cadre sup de sa boîte, qu’elle épousera pour sa carte bleue et qu’il ne touchera plus après qu’a la suite d’un viol a peut prêt consenti, elle tombât enceinte, après quoi elle sera une mère et il rentrera avec le dernier train en transpirant le shochu et le nichon de collégienne qui rit même à ses blagues les plus pourries – à 20,000¥ de l’heure, tu me diras, manquerait plus qu’elle ne le fasse pas…Parce que je vais te dire, les femmes, c’est…blabla…

Science occulteEt moi, dans mon coin, après avoir été licencié aussi de mon travail de nettoyage des rampes d’escalier roulant du métro toute la nuit, je ferais du Tai-chi avec les vieux dans le parc le matin, jusqu’à ce qu’on me fasse comprendre que ma petite maison en carton dans le parc a pris feu, après quoi je dormirais dans le toboggan- poulpe en béton dans lequel je vomirai mon saké en tétrabrick et ferais peur aux enfants en exhibant mes parties intimes.

Mais je suis plutôt optimiste, en fait.

We have no holiday mother fuckersfalling_down

3 -Ormeta sur les écoles de langue : Le working holiday est un kleenex, une marchandise jetable…Tous pleurent sur la situation d’il y a dix ans, à croire que personne n’a fait ni histoire ni sociologie, j’ose pas dire philosophie et j’en suis à me demander si certains ont fait des études tout court, à rabâcher comme ça sur la notion d’âge d’or ou les français étaient peu nombreux et les écoles aussi, du coup. De toute façon, ils étaient dans les premiers. Ha !

自慢

じまん ・ jiman・orgueil , vantardise

« Mon école c’est la meilleure, c’est pas l’usine, ici on est exigeants, qualifiés… »Quand s’arrête la fatuité ? Toujours pas de nom, mais juste les boules…

Je ne fais plus de visa de travail. Les Working Holiday arrivent chaque année, alors je sponsorise les indispensables, et encore…[…]

N’importe quelle femme d’expat’ donne des cours, à domicile ou dans les centres bénévoles, elles sont désœuvrées et elles ont envie d’argent de poche, de faire des contacts, on les comprend, mais…ça nous casse la clientèle, c’est fini l’époque où…[…]

Nous, on donne les meilleurs cours possible […]Comment ça, qu’est-ce que vous entendez par « suivi des élèves » ? […] Le système est simple: y’a des élèves, vous travaillez, et sinon…ben…ça marche comme ça : je vous appelle mardi et on fixe vos horaires du mercredi. Puis, mercredi soir, ceux de jeudi, etc. Je réorganise la grille chaque jour ».

C’est juste un aperçu des choses qu’on peut entendre.
C’est un microcosme et je pense que je ne me fais pas de film sur leur connections : tous se renseignent pour savoir qui vous a fait le visa, combien vous travaillez chez eux, quel livre/méthode, combien d’élèves…parfois c’est gentil et parfois ça pue le nid de vipères, le rotary club des langues de putes, clinquant, cliché, nourri au « on est au top » mais « c’est la crise, nous n’embauchons pas en ce moment ».
Certes.

shibubuCouloir de la mort

Au final, pourquoi en parler si c’est pour ne citer personne ?
Si, je vais citer, dans un article suivant, ceux qui m’ont paru différents, et pour qui je travaille en grande partie.
En attendant, c’est vrai, silence sur ceux qui s’enfoncent déjà très bien tous seuls, sur ceux qui n’ont pas besoin de se faire de la pub sur mon dos si parmi les 100 lecteurs (plus ou moins) de ce blog, il s’en trouvait un qui veut faire un procès pour diffamation (ça existe au japon, ça ?).

Et toujours la peur de se griller auprès de toutes les écoles, qui aussi antagonistes qu’elles soient, se retrouvent souvent par des connexions indirectes et dans un mélange de mentalités japonaises (tu acceptes ou tu peux rentrer dans ton pays da ne ?) et expatriées (crache dans la soupe mais pas la mienne, parce que j’ai des amis pour te griller, tu sais ?).

À suivre.

Noroi (Japon, 2005)

05 lundi Mai 2008

Posted by senbei in Opium For The Masses

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camera à l'épaule, film japonais, Malediction, papier alu

Noroi_rs

Ça semble cliché à résumer : on a retrouvé la cassette vidéo de  Masafumi Kobayashi, qui enquêtait sur les phénomènes paranormaux  et a disparu depuis l’incendie de sa maison dans  lequel  sa femme a péri, etc.

Cliché aussi en apparence, la forme : une cassette vidéo montée pour le commerce, avec de la mise en scène de très cheap, des extraits d’émissions TV, de la caméra à l’épaule, de la dramatisation…

呪い

のろい ・ noroi ・malédiction

En fait, c’est très sympa.
Ça ne fait pas excessivement peur sur le moment, mais c’est jouissif par l’exercice de style.

Soit c’est excessivement bien foutu, soit l’acteur joue vraiment comme ça et c’est grave, toujours est-il que ça fonctionne a fond les ballons : Le coté « je me mets en scène dans mes propres cassettes » permet de filmer d’une manière interdite dans le cinéma, avec des flous, des saccades, du n’importe quoi en grain d’image, du mauvais goût assumé en musique tapageuse, de la VHS, des images fantômes, des ralentis pourris, des gros plans sur des visages crétinement expressifs…

noroi3

Et aussi des personnages savoureux ou truculents (oué, j’lai placé !), comme ces énergumènes savant de village de dégénérés retraités qui ont toujours 2 magnétoscopes pour faire des copies, ou ces mères au foyer, amies d’enfance qui n’ont rien à dire mais sont ravies de l’exprimer devant la caméra…

Et surtout, un fabuleux médium tout vêtu de chiffons recouverts de papiers d’alu, une vraie psychose en puissance qui joue vraiment super bien.

noroi2

C’est un peu un pendant pas drôle (enfin, volontairement sérieux, plutôt) à Trick, le film comme la série, avec ses péquenots superstitieux des montagnes, ses malédictions millénaires et ses danses folkloriques d’éloignement du démon mais-forcement-la-danseuse-(fille-vierge-du prêtre)-s’écroule-en-gémissant-sous-les-convulsions-etc. Le grand classique, mais avec la classe.

L’esthétique est bien foutue, avec ses tricotages à la con de fils divers et variés, ses pigeons suicidaires et ces psychosés du quotidien.

noroi1

Et c’est là qu’est la vraie angoisse du film, si on habite au Japon, du moins; le lendemain matin, je me réveille…8 pigeons sont posés sur le toit de tôle d’en face… ça rappelle un truc.

En sortant, dans le parc d’en face, un gamin se cache dans un coin… les maisons sont du même genre… le même ballon dégonflé et blanchi par le soleil… les mêmes volets de papiers, déchirés et jamais remplacés.

La maison qu’on démolit, et la tractopelle a butée sur une grosse pierre…Argh…

Franchement pas trop mal : 4,1/5

Le Bohnêur de Vivre de France : Chapitre 10

05 lundi Mai 2008

Posted by senbei in Le Bonhêur De vivre la France.

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Chofu, franponais, Ichigaya, mieux, petit lycée

Mieux

Au Japon, les accents sont une vraie passion typographique. Pas de gateaux, des gâteaux : on n’oublie pas les circonflexes.
À défaut, on met des accents là où ils n’ont pas lieu d’être, prouvent encore une fois qu’en effet, le mieux est l’ennemi du bien (ça y est, je viens de rentrer dans le 3ème âge avec cette phrase, uh uh …)

Nb. C’est amusant de voir combien c’est répandu dans le paysage urbain, alors que c’est la misère à faire avec un clavier qwerty.

Lycee

Je jure que je n’ai touché à rien, c’était tel quel dans une pharmacie de Chofu

a

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