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Archives Mensuelles: novembre 2008

Phrase de ma mamie n°3 : « Un baiser sans moustache est comme une soupe sans sel »

30 dimanche Nov 2008

Posted by senbei in Kultur Schokk !, La Bright Life in Tōkyō

≈ 17 Commentaires

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chuck norris, deadwood, günther, Moustache, seth bullock, sukebe

Gunther
The winner takes it all

Ma grand-mère le disait. Ça n’implique qu’elle, bien sur.

Moyennant quoi, j’ai rejoint l’axe du mal.
Voyons les choses en face : qui porte la moustache aujourd’hui ?
Les vieux culs suisse (comme Dieter Meyer et Boris Blank de Yello!), les méchants dans les films de Steven Seagal, les catcheurs sur le retour, un demi-Justice, les pakistanais, les tamils, les turcs, les portugaises, certaines de mes ex, les tueurs serbes dans les jeux vidéos, les homos old-schools lecteurs de Tom Of Finland, les vieux brittons potentiellement pédophiles, les rednecks et saint-Chuck Norris, les groupes de pop modernes découverts par les inrocks, chiants dans leurs accords sans avenir et leurs gilet a carreaux, mon beau frère Res, paysans dans l’Emmental, les mexicains potentiellement clandestins ou chanteurs, les grecs qui puent la chorba, le mal, le M.A.L, LE MAL, on vous dit.

[N’oubliez pas que ce blog est anti-minorités, anti-étrangers, anti-franco-suisses exilés, anti-sceptique, antipathique, anti-moustique, Antigone qui doit mourir pour Troie, Antibes plein de rupins, etc.]

J’ai donc essayé, avec pour modèle Seth Bullock ou Al Swearengen (cocksusker !), Günther et Matt Houston, dans une moindre mesure.

Cocksucker

Al Swearengen: I will profane your fucking remains, E.B.
E.B. Farnum: Not my remains, Al.
Al Swearengen: Gabriel’s trumpet will produce you from the ass of a pig.

Bizarrement, ça passe plutôt bien auprès des élèves. Je croyais que j’aurais l’air d’un pédophile puissance mille, mais on m’a dit que j’avais juste l’air « sukebe » (cochon) ou « otokopoi »(viril).

PedogogieRam that pole
Scène de déviance pédophile aggravée en milieu scolaire.

Les écoles de langues sont parfois des endroits dangereux pour les testostéroneux : de vieilles friantes d’allusions salaces, les yeux humides en compensation d’autres sécheresses, mais aussi de jeunes épouses désœuvrées, au romantisme bafoue par les placides et silencieuses désillusions inavouées du mariage, voire de jolies minettes affublées de robes larges comme ma ceinture, d’adorables gamines s’échappant de leur quotidien, de revêches gramaticiennes trentenaires, d’indécrottables célibataires pratiquant l’arrangement floral, de courageuses bavardes bravant mon haleine putride de caféine avec repartie, de cervelles d’oiseau incapable de retenir 5 couleurs ni la conjugaison du verbe « être », de tolérantes chercheuses de dictionnaire devant l’insignifiant niveau de mon japonais, de patientes amusées pendant que je cherche dans un bescherelle en suant à grosses gouttes…

Mais qui acceptent un prof frisé et moustachu, coiffé comme un balais espagnol et sapé comme un congolais aveugle. Chapeau.

J’aime mes élèves. Merci à elles !


gunther

[Ceci était un communiqué du CRM, Comité de Réhabilitation de la Moustache.]

Phrase de vieux cul n°125 : « T’es aigri parce que t’as pas d’amis, c’est ça ? »

19 mercredi Nov 2008

Posted by senbei in N.E.R.D.

≈ 35 Commentaires

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collabo, Facebook, Fesse-bouc, hugues, Perdu de recherche

The dude
Devise : « L’orgueil pour seul ennemi ! »

« J’aurai jamais cru que tu tomberais dans ce piège narcisso-exibo-mainstream.Quoique je ne doute pas que tu oeuvrais déjà dans le socialnetworking sur quelques portails coréens obscurs ».

Comme Hugues le fait remarquer, acerbe et décourageant comme à son habitude (il m’écrit ça alors qu’il doit être sur Facebook depuis au moins 1997, ce bogomile ! ), j’ai rejoint encore un peu plus le troupeau des moutons de la technologie rendue accessibles aux bras-cassés : Facebook.

Que me reste-t’il afin de me vautrer encore plus dans le stupre et la déchéance ? Mixi ? MySpace ? Un forum personnel, à ma seule gloire, où je pourrais poster sous pleins de pseudonymes affligeants des remarques lumineusement drôles et gorgées d’intelligence comme un baklava l’est de miel ?

Mais...ne suis-je pas au dessus de tout ça ?

Ma première impression de Fesse-Bouc (tout un programme…), c’est que ça ressemble beaucoup à une réunion des alcooliques anonymes :

Moi – Bonjour, je m’appelle Ismaël et je cherche une bouteille de vodka pas chère des amis [mais pas des nouveaux, c’est trop risqué…].
Tous – BONJOUR ISMAAAA !
Moi – Aujourd’hui, je me suis envoyé un demi cul-sec un mail à moi-même, tout seul, pour me r’habituer…
Machin – Bravo
Truc – Grandiose, décroche pas !
Taro – Gambatte^^!

Bon…je me moque mais je suis content de revoir quelques founches perdues de vues il y a longtemps, comme je suis une lazy bitch qui fait rien que pas répondre aux mails.
Juste…Faudra pas s’attendre à obtenir une réponse à « Qu’est ce que tu deviens ? » ou « C’est comment le Japon ? ».
Allez, je vais encore perdre une heure à mettre à jour mon profil.

Collabo

Sodom The Killer (Japon, 2004)

15 samedi Nov 2008

Posted by senbei in Opium For The Masses

≈ 3 Commentaires

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Cinéma japonais, ed wood, rollin, sodom, v-cinema

Sodom_the_killerLe titre (voire l’affiche) en disait déjà assez long sur la praline que ça peut être que ce Sodom the Killer.
S’il y a la télé dans sa tombe, Ed Wood doit se taper une sègue sur ce film tous les soirs (alors que moi je sors un peu déçu du matage d’Anal Chaos et ses hardeurs quarantenaires kiffant le gonflette et les tatouages péraves), parce que plus ultra-mega-cheap, c’est dur à faire.
En gros, ça a tout du film amateur édité à compte d’auteur, genre Jean Rollin nippon, donc vaguement drôle, parfois gore (quoique Rollin…c’est pas trop vague) mais par contre, sans cul du tout, contrairement à ce que promettait le titre.

Eh voui, pas de « Fesse promise, Con tenu », quelle déception ! Même pas la moindre allusion à un hypothétique empallage, ca pue vraiment la stratégie marketing à 2 balles, ce titre.

Sodom_Elsa FrauleinElsa Fraulein, de l’autre coté…♪♫

Sodom_barbicheSodom le chaste est une sorte de Vlad péninsulaire, qui dans un accès de parano, torture et tue les deux servantes de sa future ex-femme puisque morte sur l’autel (vous suivez ?) et inévitablement (comme pour le japonais, l’euro fort provoquait il y a encore peu la vie chère chez eux) il est de suite aveuglé et devient un tueur immortel qui va essayer de détruire pathétiquement le monde pendant le reste du film, comme tout méchant mégalo qui se respecte.

C’est lamentable mais trop assumé pour être involontairement bon. Pas un nanar, donc, parce que ça se pressent déjà comme un objet de culte nanar, et c’est donc prétentieux.

Sodom_Enneigée« Vas-y baisse les yeux ch’te dis ! »

Préférez revoir Full Metal Gokudo ou n’importe quelle production Trauma.

0,8 /5, pour l’esthétique, parfois bien réussie, et les trucages, bidons au possible mais drôles et inventifs (enfin,le minimum…)

Sodom_Attation
Rebondissement dramatique, figure classique n°1 :

« ATTATION, DERRIERE TOI !!!! »

Phrase de vieux cul n°8 : « Y’en a vraiment qui aiment se compliquer la vie »

11 mardi Nov 2008

Posted by senbei in Kultur Schokk !, N.E.R.D.

≈ 7 Commentaires

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gaijins, informatique, porno, Sata, ultraviolence, vie de famille, yodobashi

Sata_2

Ouarnïnge : post plein de fils et de tirets !

Oui, je suis de ces masochistes-la. Mais parfois involontairement.

Night Patern 4Il y a 2 mois, j’achetais un disque dur 500 go à Yodobashi-Camera, parfaisant l’image du gros gaijin, qui, comme tout un chacun le sait, porte toujours une chemise bleu ciel à rayures IBM (sauf le week-end où il porte une chemise saumon, comble de l’audace Night Patern 3transgressive…un pull Ralph noué sur les épaules…) sous sa tête de Big Jim « agent bancaire » (coupe de cheveux en plastique moulée), dos enserré (sous l’oeil incrédule des autochtones, qui tels les collégiens du collège de Peyrolles-en-Provence, pensent que vous crèverez dans les 3 jours si vous ne laissez pas pendre un sac-à-dos jusqu’à ce qu’il cogne l’arrière du mollet à chaque pas) Night Patern 2d’un gros sac de trekking, donc, rempli dans ses petits compartiments-à-scratchs-tellement-pratiques, d’une pince en plastique anthracite, empêchant le coincement du falzar-à-pince gris brouillard dans la chaîne du VTT hors-de-prix (Les VTT sont les chasses gardées des bougnoules blonds de Nipponie : pas un japonais ou presque n’oserait tester un gaijin en Cannondale à un croisement. Vous regarderiez 2 libanais en sortie nocturne dans une Venturi Night Patern 1avec un air de défi, vous et votre pauvre Safrane ? Non. Tu peux pas test, mais au fond t’as pas envie. Et encore plus au fond, cette image ne tient pas la route et n’est qu’un prétexte pour dire du mal des libanais, puisque, rappelons-le, ceci est un blog de fassiste de merde).
Mais à la pauvre pince-à-futal, plus les phares amovibles et la pompe pliable (au cas où, entre Ichigaya et Azabu-Juban, on ne sait jamais...), il faut ajouter le magazine financier importé (« ne fait jamais confiance à la presse indigene, fils ! »), une gourde d’eau fraiche Conran Shop et un mug rechargeable Starbucks, un ordinateur portable et l’inévitable iPod blanc (ou noir, en cas d’audace). Et, finalement, le sac Yodobashi / Bicamera, parce que…

Le gaijin est sûrement un Nerd, qui aime acheter de nouveau câbles en fibre optique isolés au zycral (résistance aux chocs : 8,5 tonnes…au cas où pendant le prochain tremblement de terre, un truc lourd tomberais dessus, on pourrait quand continuer à regarder CNN, pour avoir de l’info utile – au lieu de parler aux voisins, gentils mais limites...ils ne parlent même pas anglais, tu vois….) ou bien un disque dur pour bidouiller lui-même. Mais quoi, au juste ?

Les partitions.

Le gaijin a régulièrement besoin d’un nouveau disque d’un terabit pour le photos de ses enfants, c’est sur, mais aussi pour le porno qu’il mate quand sa femme dort, prétextant un boulot quelconque (alors qu’il peine juste à bander parce que l’idée de devoir lui réciter les raisons pourquoi il l’aime tant en guise de préliminaire lui coupe la chique…surtout si c’est pour s’entendre dire « on est bien tous les deux, hein ? » apres un énième slow horizontal vu et revu 1000 fois et chiant comme un disque de Jack Johnson).
Alors qu’il s’apprête à télécharger le dernier Taylor Rains (celui où elle manque encore de gerber à cause du mandrin avec lequel un évadé de prison essaye de lui agrandir œsophage alors que le Rimmel lui coule sur les roupettes), c’est la scandale : il ne reste que 3 gigas libres le disque dur ! Comment faire ?! Un sphincter tendu comme le bras d’Orphé vers Euridyce aspirée par les enfers (bonne image, en fait…) ne mérite-t’il pas les 6,4 gigas du bluray-rip ?

D’où l’impressionnante proportion de sacs Yodo/Bic camera chez les étrangers blancs.
Mais moi, c’est différent, bien sûr. Je ne mange pas de ce pain-la, voyons.

Chiaki_pcSata_1

Rentré à la maison, je me retrouvais couillon comme devant : j’avais acheté un disque SATA alors que j’en avais déjà deux.
Donc plus de possibilités de branchements T_T…
Je retournais donc acheter une carte PCI permettant d’en brancher deux de plus, après avoir lu et relu les messages des 150 boulets qui ont tous posés les mêmes questions sur différents fora (un forum, des fora : je suis pédant et je vous emmerde) après avoir fait la même bourde que moi.

Après l’avoir bien monté (simple préliminaire), commençait le parcours visuel à la Tron : boot, écran noir, bienvenu, wallpaper, erreur fatale, reboot, erreur kernel 32, reboot, écran fige, arrêt au bouton, reboot, scandisk, blue-screen-of-death, etc.

Après une semaine, le disque que j’achetais m’était signalé comme mal partitionné et partiellement inaccessible, après avoir donc transfèré une majeure partie des vidéos de vacances de mon cousin José dessus (quel globe-trotter, ce José !). La joie du tout, plus les 12 reboot de l’heure se faisait sentir aussi du côté de mon vieux disque IDE, qui décidait de mourir dans la foulée avec toute mes photos dedans (vraiment, pour le coup).

Sata_3

Après de longues heures devant des logiciels inutiles, je récuperais les débris à partir d’un environnement Ubuntu, et décidais de switcher pour ce système d’exploitation,comme tous les nerds nerveux atteints de velléités linuxiennes après un énième crash de windows.

http://www.ubuntu-fr.org/

J‘ai d’abord testé kubuntu, la version KDE d’Ubuntu, mais le côté toc du truc me faisait chier : quitte à changer du tout au tout, autant que ce soit beau (KDE n’est pas moche du tout. Mais j’aime pas le cote froid et chiadé du truc, ça semble trop clairement fait pour donner une turgescence aux informatophiles).
La prise en main est plus simple que ce que que pensais : beaucoup de choses très utiles pre-installées, presque pas de codes à rentrer et un support très efficace par le forum internet.
Bon, évidement, j’étais content d’avoir garde une partition Windows au cas où, quand il a décidé de ne plus rien lancer, ni internet ni autre chose. J’aurais aussi aimé entendre un sale bruit traumatisant pour me dire que plus rien ne marche parce que je n’ai plus d’espace disque disponible.
Sinon, presque tout tourne ou est remplacé.
Inconvénient majeur : le fait de devoir lire 5 pages de bataille de geeks sur des forums à chaque soucis ou tout nouveau programme à installer. Soit autant de posts que de milliers de photoshopages cheaps de pingouins, d’illustrations moisies, de 3D atroce, de déguisements qui feraient passer Yves Duteil pour du bon goût, que j’ en rêve de faire une pingouin-michioui, que la neige s’entasse dans nos narines et qu’on fasse un bal-trap de manchots sous l’emprise de la drogue comme les rupins décadents de Rollerball font un carton sur les arbres, après quoi moi et mes droogs on irait « casser du Tux » sous les ponts, les tabassant à mort avec des codes sources en les obligeant à chanter « I’m singing in the Windaube »,

ahahahaha.
Mais je m’égare.
Donc, maintenant, ça va pas trop mal.
Pour ceux qui voudraient me recontacter, j’ai actualisé mon adresse skype (sur lequel je ne suis jamais, ou presque) ainsi que la postale, dans le feuillet « About ».
Bon, je repars recompiler le kernel, y’a une mise-à-jour majeure du code source, uh uh.

Nornori
Informaticien du dimanche heureux

a

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