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Archives Mensuelles: août 2010

Phrase de vieux cul n°139 : « Qu’est ce que tu peux être négatif ! »

22 dimanche Août 2010

Posted by senbei in Kultur Schokk !, True Tales of Boredomia

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de l'art de la rubrique nécrologique spéléo dans la presse régionnale, Evangelion s'invite au Hanabi, Haine ordinaire, l'Übermensch c'est pas moi, L'été de la mort, Last gleaming on Kobol, les feux d'artifices pour compenser les éjaculations du slip, les suicidés sont des imbéciles, mort des cigales=renaissance du cortex, Pénétrer tous les trous du monde, rêves humides de chaos social, se faire larguer avant le 21 juin

Hana-bi chofu_Death and rebirth2

L’été, je déprime.
Mystiquement parlant.

J’ai envie de rien, envie de tout. Sentiment de petitesse. Envie de la fraicheur d’une église, envie de connaitre le Dieu qui y habiterait pour mieux le défier, envie de le sentir ou d’en éprouver l’inexistence, envie de comprendre ce qui pousse les imbéciles vers lui, envie de crier ma supériorité face à ce peuple de connards qui ne le méritent pas.

Et pourtant, avant tout et en permanence, le doute: doute qu’il existe, doute que tout cela ait un sens, et la haine, haine de ce que les humains en font, haine de soi-même, dégout de l’Homme, tourmenté, partagé, que Nietzsche décrit avec tant d’élégance sans savoir s’en détacher lui-même, élan brisé par l’auteur, l’impossible Übermensch, et quand bien même, pour quoi faire ?

Haine de sa nature humaine qui s’invente des sur-êtres pour se déresponsabiliser, fuir la réalité qui tord les nerfs, prendre le pouvoir, assoir sa domination, contrôler les masses. Le pouvoir, les églises, les hommes. Les femmes, à part, masse d’ovaires serviles. Un jeu sale.

Priez pour nous

Écrire sans recul, vivre sans recul, angoisser parce qu’on n’y arrive pas, trouver son excitation de vivre dans cette angoisse.

Et si le chaos social pouvait survenir au coin du farniente ? Le suicide social en guise de suicide pathétique, éclaboussant le devant du train. L’été des suicides, les suicides de l’été, je comprends. Mais même ça n’a pas de sens. Ce n’est pas assez sophistiqué. C’est idiot. Ces idiots. Je les envie un peu.
Se brûler au lieu de brûler les églises. Après tout, ce serait dommage, il y fait si bon.

EnoshimaElysian Fields
Foret des mortsSummer sky of death

Les étés, je les ai presque toujours vécus comme un moment solitaire, une oasis cérébrale, un plaisir coupable de se mettre sur OFF et expérimenter l’aliénation religieuse, millénaire.

Dehors, la chaleur écrase, la chaleur empêche le cerveau de fonctionner correctement, et c’en est tout le bonheur. Combien d’étés oubliés ? Qu’as-tu fait entre la vie et la mort des cigales ? Presque aucun souvenir. Je connais Meursault, j’y étais.

Pins à la con 2Echelle et suicide
Pins à la con 3Pins à la con 1

Que devient mon corps ?

Glander rend fou, ou mou. Le travail devient nécessité, comme échappatoire. Mais un travail dur, physique.

Des années à guider des touristes dans la fraicheur des grottes, à monter et descendre sur d’obsolètes cordes de 10 millimètres durcies par le lavage et la boue. Des trous connus, des heures d’attente dans le noir, à couper la lampe frontale et à attendre que le hollandais qui s’essouffle comprenne comme marche un jumar, alors que tous les autres l’ont compris, mais qu’il faisait le fier-à-bras , n’écoutant pas, posant pour la postérité familiale, une stalagmite entre les jambes.

Des années à penser à ce qui se passerait si je tombais, le corps qui rebondit sur les parois de calcaire, les filles du groupe qui pleurent, Spéléo-Secours qui arrive 4 heures plus tard, la presse qui écorche ton nom dans la nécrologie.

Ici, je compense en faisant du sport, il faut que ça sorte, toute cette frustration, toute cette colère, toutes ces peurs.

« All this fear, all this anger, a new world to be born ».

Mais aller chez les parents bosser dans les trous évitait aussi de penser à tous ceux que j’aurais aimé pénétrer si j’étais resté en ville, cauchemar des hormones. Qui plus est, je gagnais de l’argent alors que là, j’en dépense.

Hana-bi chofu_2Hana-bi chofu_1

L’été me déteste. J’en suis le centre, et les filles me narguent de leurs jambes, de leur sourire, de leur frivolité, à sortir avec tous les pires crétins de la terre tout en me laissant sur le carreau.

Des années de célibat estival, un training spartiate, non pas tremblant, l’hiver dans la montagne, nu parmi les ours, mais suant sous l’été écrasant, lâché au milieu des chattes. Se faire larguer avant le 21 juin, trainer sa frustration comme une oriflamme pendant 2 mois, un drapeau flottant au vent, orné de l’avertissement suivant : « Crève la dalle ! », en lettre d’or sur organdi rouge menstruel.

2 mois entre espoirs et tortures, une vie sexuelle façon révolution tchécoslovaque, entre désir, soulèvement de la masse, explosions dans un mouchoir, répression et désespoir.

De fait, l’été est un temps passé seul, célibataire ou pas. C’est dans la tête. C’est le temps des amis et du pastis en jouant aux boules sur la placette d’Aiguèze, en hallucinant qu’après toutes ces années à vivre là, on ait encore des choses à se dire.

3 ans de Japon. 3 ans à rester toujours avec la copine. 3 ans sans vraies coupures.
Quel que soit l’amour qu’on éprouve, je me fatigue l’été.

Hana-bi chofu_Last gleaming on Kobol2

Last gleaming on Kobol.

Phrase de vieux cul n°225 : »Moi ça me dégoûte, tous ces mecs à poil »

22 dimanche Août 2010

Posted by senbei in Kultur Schokk !, La Bright Life in Tōkyō

≈ 11 Commentaires

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Comic LO Die-Hard Hard-One, dans l'eau chaude avec un tatoué, L'onsen comme lieu homo-érotique de la civilisation nippone, Le grand rien, les onsens sont fait pour se suicider par l'ennui, Les yakuzas ont aussi droit aux vacances, Odawara mon amüüür, Ramen à 8000 calories, sur la route avec ma bite et mon couteau, Tenzan hakone

Odawara_Pochettte de college-rock

Alors évidemment, tout le monde y compris Karl Lagerfeld qui vient encore de m’énerver au téléphone avec son autorité tout allemande à demander un truc comme on annexe les Sudètes, tout le monde attend la suite des aventures aventureuses de ma bite et mon couteau, lancés dans la jungle urbaine nippone, entre tradition et modernité, conformisme et avant-gardisme, Saintes-Nitouches vénales et salopes en sommeil.

J’arrête ou vous vomissez déjà ?

Odawara_du sang sur les rochers

Le fait est qu’il faut un peu de matière pour ça, un peu de croustillant, et que j’ai déjà fait beaucoup de posts avec du RIEN. Mais je le camoufle plutôt bien.

Mais là, ça risque de puer la vacuité…et puis réfléchissez : quand bien même je devrais acheter une pelle à neige afin de déblayer la maison de ses emballages de capotes déchirés s’amoncelant aux non-pieds de mon futon détrempé par tant d’ébats humides, croyez-vous vraiment que je le raconterais ici, sur ce blog qui certes, n’est parfois que mauvaise littérature, mais qu’accessoirement, ma légitime lit de temps à autre ?

Noooon, m’enfin, ce serait grossier.

Odawara_c'est choli la kote

En guise d’eau à la bouche et de femmes fontaines, un peu de flotte sous les aisselles avec un minivoyage à Odawara, histoire de quitter l’étouffante moiteur Tokyoïte et voir un peu la mer.

Avouons-le, moi-même suis déçu de vous parler de ça plutôt que d’autre chose.

Odawara_pacoulin des routes 1

D’autant plus qu’à Odawara, à part des vieux que je pourrais voler à la tire si j’avais moins d’embonpoint et un château même pas digne d’être copié pour jouer à Warhammer 40.000, il n’y a rien.

Non pas que rien, ce ne soit parfois sympa…le rien de la campagne apaise, le rien du dimanche relaxe, le rien de poil excite un peu, le rien sous la robe fait saigner le nez du nippon, etc.

Mais voilà que ça recommence à dé-vier vers le sexe.

Odawara_Centre villeOdawara_Rue de l'hotel

L’hôtel n’a rien de spécial. Rien d’excitant non plus. Le quartier est calme, les rues sont classiques. On y arrive dimanche après-midi, dans la Nissan des beaux-parents, peut-être une des bagnoles des plus banales de la terre, dessinée un jour sans à partir d’un dessin recalé de fer à repasser. Une Nissan JOUR FÉRIÉ, ça ne s’invente pas. Un char de parade.

Odawara_CarteLe poste à CD tombe en rade après 50 kilomètres, et c’est donc au son de THE RIEN que nous attendons 37 minutes coincés dans la voiture avant de pouvoir nous garer au TENZAN.

Et là, faut le dire, merci Sanji de Secret-Japan. Un Onsen pas secret du tout, puisqu’il faut attendre plus d’une demi-heure coincé dans la caisse alors que 5 guignols sont payés pour voir leurs poumons détruits par les gaz d’échappement tout en faisant du gérontosport de bâton (une grande passion des pauvres du 3e age local : revêtir un uniforme en tergal triple épaisseur et agiter un bâton quelconque au milieu des voitures).

Mais ça vaut le coup…

Odawara_Entree Tenzan L’eau est bien. Vraiment. Évidemment, une photo ne vous dirait rien, et puis t’aurais pas l’air con avec un reflex autour du cou, la bite trempant dans le jus minéral pour cadrer au ras de l’eau les fesses des gosses pataugeant. L’eau est bien, et va falloir me croire.

Chez les hommes, 3 niveaux, comme dans un jeu vidéo Amstrad CPC 464, mais pas le même degré de difficulté.

Tout en haut, un petit bain très facile d’accès et de température. Un cran plus bas, c’est presque pareil, mais la configuration est mal foutue, de manière que soit tes pieds touchent les burnes du voisin, soit t’as rien dans le dos sinon des gens qui passent, pas très agréable.

En bas, à gauche, 2 bassins, dont un insupportablement chaud et l’autre qui sent vaguement la pisse. À droite, un truc qui doit servir à cuire des œufs mollets, j’imagine. Je ne crains pas trop le chaud, mais faut pas délirer non plus. D’ailleurs, quasiment personne ne s’y risquait.

Au centre, un jacuzzi d’eau FROIDE. Ouech.

Odawara_grosse fatigue

Fidèle à moi-même, j’arborais ma coupe « Pelvic GI », couilles rasées de prêt et buisson façon Légion Étrangère, ce qui impressionne généralement l’autochtone et son paquet de varechs-cache-bite.

On fait ce qu’on peut pour faire honneur à la réputation des gaijins, moi je n’ai que ça, désolé.

Toujours est-il que je faisais le mariolle en sortant des bains chauds. Fidèle à mon habitude, je m’y motivais un brin en pensant à d’absurdes saloperies tout droit sorties de Comic LO, histoire de crâner encore un peu plus. C’est un exercice périlleux. Cet hiver, je me suis retrouvé coincé pendant 20 minutes dans l’eau trouble d’un onsen de montagne avec une foutue gaule qui ne voulait plus descendre et que je me voyais peu exposer aux gamines qui se lavaient le cul avec papa, sans quoi ils en auraient tiré des conclusions moyennement sympa, j’imagine.

Je me doute que c’est malsain de vouloir être l’éléphant de l’onsen, mais j’avoue, je me fais chier comme un rat mort à barboter seul dans l’eau chaude.

Je ne sais plus du tout ou je voulais en venir avec cette histoire. Mais je remarque bien que ça reparle de ma bite, c’est affreux.

Odawara_Poissons qui sèchentOdawara_Filets de poissons

La meilleure partie de l’ onsen est surement son sauna, de facture traditionnelle, une sorte de four à pizza à la chaleur raisonnable, à l’entrée duquel on s’enduit le corps du sel d’une grande jarre disposée là à cet effet. Après quoi, un petit tour dans le jacuzzi froid est un régal. Et on recommence. Sauf qu’on fait moins le fier en sortant de l’eau superfroide.

Les bâtiments du Tenzan sont également beaux, et en eus-je eu les moyens, que j’y aurais bien dormi aussi, comme ce mec de la télé avec qui je parlotais dehors.

Il fumait des Davidoff, je fumais des Dunhills, on s’est vu, on s’est connu, on s’est aimé, chabadabada…nous projetions ensemble nos vacances, nous courrions nu sur la plage du Touquet après une bouteille de Saint-Estèphe de trop, nous roulerions dans le sable, nous ririons de notre bêtise, sa fine moustache piquerait un peu dans mon cou quand nous nous endormirions ensemble dans le hamac pendant que nos femmes débarrasseraient la nappe à carreaux vichy des restes de la salade de riz au thon en boite, le fin filet d’air parfumé au pastis s’échappant de ses lèvres entrouvertes se marierait avec le vétiver Hermès de sa peau tannée, mais pourtant si délicate, je l’aiderais à monter à cheval, tiens, pose ta cuisse sur mon épaule, nous galoperions dans la Camargue sèche et craquante en criant des youhou de toute la force de nos poumons, il gouterait ma brochette du gardian et je prendrais une bouchée de sa daube de toro, le rosé de Lirac nous enflammerait les joues et une mèche rebelle balafrerait son front d’un accroche-cœur bougeant au rythme des soirées gitanes qui réchauffent les cœurs meurtris et exacerbent l’amitié virile au coin du feu…oh oui...c’est bon…

Ben non. Au revoir, à la prochaine, ravi de vous avoir connu.

Odawara_Selfportrait

À la place, on rentrait à Odawara au business-hôtel à 4000yens la nuit et mangeait le ramen le plus copieusement GRAS de la ville. Un cafard volant t’y accueille. Les gens ont tous l’air d’avoir été figurants dans Délivrance ou La colline à des yeux. La déco évoque Jackson Pollock. Le visage du tensho évoque un mégot de Gitane Maïs. La totale…

Odawara_RamenOdawara_170 d'éponge à chiasse

Lien cause-à-effet ?

Les petits déjeuners d’hôtel du pauvre sont une horreur, je passe les détails. Route vers le sud, on s’arrête sur une péninsule, faire une jolie promenade, tremper les pieds dans l’eau claire et prendre en 30 minutes le coup de soleil de la mort, comme ça, cash.

Au début je ressemblais à un kiri flottant sur la grève, puis c’est le look crevette qui prend le dessus, une vraie métaphore culinaire.

Odawara_FriedrichOdawara_Favelas

2h plus tard, dans un hôtel de base, je sifflote du Roch Voisine, seul dans l’onsen ouvert sur la mer, les yeux dans l’eau ou presque : descendu au raz de l’eau plane, on voit les vagues et rochers, l’enfant qui joue sous l’oeil bienveillant de ses parents, les crabes qui copulent, ça y est, ça durcit, haaaaann…

Soudain, la porte s’ouvre et entre un mec tatoué de haut en bas. Seuls la tête, les pieds, les mains et le sexe échappent aux carpes, lotus, et autres traditionalismes encrés qui couvrent son épiderme de quarantenaire athlétique.

Euh…bonjour.

Ben voui, t’as l’air con de bloquer, autant dire un truc. Retour poli. Vague échange sur la beauté de la mer. C’est ça qui est magique dans l’ onsen : peu importe qui tu es, au final, une fois à poil et la teube ramollie (ou pas) par l’eau chaude, y’a pas grand-chose à dire de plus.

Les yakuza ont aussi droit aux vacances, non ?

Odawara_Robinson Touduc'oé

a

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